La fin des temps approche.
Les cavaliers de l'Apocalypse devront choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du Bien ou au contraire embrasser leur destinée et déchaîner l'enfer sur Terre. L'amour est une émotion défendue à l'immortelle Limos.
Promise à Satan, celle qui deviendra Famine si elle se range aux côtés du mal, est terri ée par la réaction de ses frères s'ils apprennent la trahison qu'elle a commise des siècles auparavant. La cavalière se retrouve seule face à ses démons lorsque l'enfer engloutit Arik Wagner. En effet, ce militaire humain a eu le culot de l'embrasser... et d'éveiller son désir. Une tentation qui risque de déclencher l'Apocalypse si Limos décide d'y céder.
Les cavaliers de l'Apocalypse devront choisir de préserver leur humanité et combattre aux côtés du Bien ou au contraire embrasser leur destinée et déchaîner l'enfer sur Terre. L'amour est une émotion défendue à l'immortelle Limos.
Promise à Satan, celle qui deviendra Famine si elle se range aux côtés du mal, est terri ée par la réaction de ses frères s'ils apprennent la trahison qu'elle a commise des siècles auparavant. La cavalière se retrouve seule face à ses démons lorsque l'enfer engloutit Arik Wagner. En effet, ce militaire humain a eu le culot de l'embrasser... et d'éveiller son désir. Une tentation qui risque de déclencher l'Apocalypse si Limos décide d'y céder.
L'avis de Liline :
Encore une fois, j'ai passé un excellent moment avec ce livre.
Les personnages sont pleins de complexité.
Dans le premier tome, l'auteur traitait de la violence et de ses différentes facettes : la violence gratuite, l'usage de la violence dans le but de se sauvegarder ou de protéger ceux qui nous sont proches. À l'image des militaire qui ne sont pas des mercenaire mais cherchent à protéger leur pays, leurs familles...
Dans "Famine", l'auteur aborde un autre aspect humain : le mensonge.
Chez Limos, il est compulsif, elle ment pour se protéger des conséquences de ses premiers mensonges, elle s'enfonce et en retire du plaisir sur l'instant. Malheureusement, elle vit dans les remords. En rencontrant Arik, elle se trouve face à un homme qui exècre le mensonge. Il préfère la froideur de la vérité brute. Mais en se fréquentant l'un et l'autre vont découvrir que tout n'est pas blanc ou noir. Limos va découvrir le plaisir d'être honnête et Arik comprendre qu'un mensonge " par omission" reste un mensonge. Tout comme pour la violence, ce sont les intentions que l'on met dans ses actes et ses paroles qui importent.
Un autre point important est abordé, l'humanité.
Dans le premier tome, Ares se montrer de plus en plus distant avec les émotions humaines. Il cherchait à être un guerrier implacable. Dans ce deuxième opus, Limos nous dévoile la femme derrière la cavalière. Elle a été élevée à Sheoul (les enfers pour ceux qui ne connaissent pas encore la série Demonica et Les cavaliers de l'Apocalypse) et découvre après cinq mille ans passés sur terre qu'elle peut éprouver de l'admiration pour un humain. On découvre comment elle a trahi ses frères, mais aussi comment elle est passée du côté du bien.
L'auteur nous a encore donné un avant goût du troisième tome en mettant en relation Thanatos (le cavalier qui prendra le nom de Mort) et Regan, la gardienne qui nous était jusqu'à présent présenter comme froide et implacable. J'ai hâte de connaitre la suite des évènements.
Pestilence continue de faire tout ce qu'il peut pour briser les sceaux de ses frères et soeurs, en leur tendant des pièges. Mais il doit lutter contre son ancienne personnalité, Reseph.
Des pistes sur l'identité du père de la fratrie nous sont données. J'attends avec impatience de savoir si elle aboutiront ou non.
Encore une fois, j'ai passé un excellent moment avec ce livre.
Les personnages sont pleins de complexité.
Dans le premier tome, l'auteur traitait de la violence et de ses différentes facettes : la violence gratuite, l'usage de la violence dans le but de se sauvegarder ou de protéger ceux qui nous sont proches. À l'image des militaire qui ne sont pas des mercenaire mais cherchent à protéger leur pays, leurs familles...
Dans "Famine", l'auteur aborde un autre aspect humain : le mensonge.
Chez Limos, il est compulsif, elle ment pour se protéger des conséquences de ses premiers mensonges, elle s'enfonce et en retire du plaisir sur l'instant. Malheureusement, elle vit dans les remords. En rencontrant Arik, elle se trouve face à un homme qui exècre le mensonge. Il préfère la froideur de la vérité brute. Mais en se fréquentant l'un et l'autre vont découvrir que tout n'est pas blanc ou noir. Limos va découvrir le plaisir d'être honnête et Arik comprendre qu'un mensonge " par omission" reste un mensonge. Tout comme pour la violence, ce sont les intentions que l'on met dans ses actes et ses paroles qui importent.
Un autre point important est abordé, l'humanité.
Dans le premier tome, Ares se montrer de plus en plus distant avec les émotions humaines. Il cherchait à être un guerrier implacable. Dans ce deuxième opus, Limos nous dévoile la femme derrière la cavalière. Elle a été élevée à Sheoul (les enfers pour ceux qui ne connaissent pas encore la série Demonica et Les cavaliers de l'Apocalypse) et découvre après cinq mille ans passés sur terre qu'elle peut éprouver de l'admiration pour un humain. On découvre comment elle a trahi ses frères, mais aussi comment elle est passée du côté du bien.
L'auteur nous a encore donné un avant goût du troisième tome en mettant en relation Thanatos (le cavalier qui prendra le nom de Mort) et Regan, la gardienne qui nous était jusqu'à présent présenter comme froide et implacable. J'ai hâte de connaitre la suite des évènements.
Pestilence continue de faire tout ce qu'il peut pour briser les sceaux de ses frères et soeurs, en leur tendant des pièges. Mais il doit lutter contre son ancienne personnalité, Reseph.
Des pistes sur l'identité du père de la fratrie nous sont données. J'attends avec impatience de savoir si elle aboutiront ou non.