Écrasée par les responsabilités depuis la mort de son époux, Bathsheba, comtesse de Randolph, est victime de surmenage. On la confie donc aux bons soins du docteur Blackmore, qui n’est pas insensible au charme de cette ravissante patiente à la langue acérée. Mais Bathsheba ne peut pas se payer le luxe d’une vraie convalescence à la campagne. Elle doit se rendre à Londres pour trouver un bon parti capable de l’aider à rembourser les dettes colossales de son défunt mari. À quoi bon se laisser conter fleurette par ce beau médecin qui n’a sûrement pas de quoi lui assurer un train de vie décent ?
« Sensuel à souhait ! » Anna Campbell
« Une alliance réussie entre les dialogues acérés et pleins d’esprit des romances d’autrefois et la passion torride des romances d’aujourd’hui. » Booklist
« Sensuel à souhait ! » Anna Campbell
« Une alliance réussie entre les dialogues acérés et pleins d’esprit des romances d’autrefois et la passion torride des romances d’aujourd’hui. » Booklist
- Broché: 428 pages
- Editeur : MILADY (21 novembre 2014)
- Collection : Pemberley
- Langue : Français
- ISBN-13: 978-2811213282
L'avis de Liline :
Une suite très agréable, qui nous permet de comprendre les agissements de la Comtesse de Randolph. Elle avait tout fait pour convaincre lord Trask de l'épouser, même menacé de ruiner la réputation de Sophie Langton.
Elle avait l'image d'une femme froide et calculatrice...
Ce troisième tome permet d'expliquer les choses, elle est désespérée : son mari, en plus de l'avoir maltraité psychologiquement, a dilapidé leur fortune et elle n'a qu'une seule solution pour sauver son avenir et celui de sa soeur malade : se trouver un époux fortuné.
Le docteur Blackmore est un homme déterminé, suite à la mort de sa soeur en couche, il s'est juré de tout faire pour aider les femmes et améliorer la prise en charge de celles-ci , quelques soient leurs origines, lors de l'enfantement.
Une grande partie du livre est consacré à l'importance pour la comtesse de sauvegarder les apparences, de sauver l'honneur... Mais le médecin découvre peu à peu une autre facette d'elle, le coeur sur la main, malgré sa peur de la maladie, son sens du sacrifice et surtout la femme brisée... Je ne vous dirais pas ce que lui a fait son défunt mari, mais ce type méritait une mort beaucoup plus douloureuse.
L'auteur a vraiment fait énormément de recherche pour être fidèle à la réalité historique. Nous découvrons beaucoup de choses : les débuts des césariennes, très souvent dernier recours lorsque la mère ne peut plus être sauvée, l'hygiène, la façon dont les médecins traite souvent les patiente avec dédain, considérant l'obstétrique comme une discipline inférieure...
Nous retrouvons lord et lady Silverton, sur le point de devenir parents. Leur médecin ne fait rien pour rassurer la jeune femme et elle finit par s'adresser à John Blackmore.
Celui-ci leurs apprend que l'heureux événement sera double, puisqu'elle attend des jumeaux... Chose qui aurait pu être révélée avant au vu de ses symptômes et par un simple examen que l'ancien médecin n'avait pas pris la peine de faire. Considérant sa patiente comme trop émotive...
j'ai été frappée par le passage où un médecin, élitiste, propose de briser le crane d'un bébé pour pouvoir le faire sortir et la façon dont il traite de haut l'infirmière, la mère en détresse et toutes femmes présentent... "La douleur est votre lot à toute fille d'Eve" et autre phrase de ce style.
A la lecture de tout ceci, j'ai été reconnaissante de vivre de nos jours, avec les échographies, le suivi médical et les péridurales. Et mon admiration pour les obstétricien(ne)s a encore grandi.
Une suite très agréable, qui nous permet de comprendre les agissements de la Comtesse de Randolph. Elle avait tout fait pour convaincre lord Trask de l'épouser, même menacé de ruiner la réputation de Sophie Langton.
Elle avait l'image d'une femme froide et calculatrice...
Ce troisième tome permet d'expliquer les choses, elle est désespérée : son mari, en plus de l'avoir maltraité psychologiquement, a dilapidé leur fortune et elle n'a qu'une seule solution pour sauver son avenir et celui de sa soeur malade : se trouver un époux fortuné.
Le docteur Blackmore est un homme déterminé, suite à la mort de sa soeur en couche, il s'est juré de tout faire pour aider les femmes et améliorer la prise en charge de celles-ci , quelques soient leurs origines, lors de l'enfantement.
Une grande partie du livre est consacré à l'importance pour la comtesse de sauvegarder les apparences, de sauver l'honneur... Mais le médecin découvre peu à peu une autre facette d'elle, le coeur sur la main, malgré sa peur de la maladie, son sens du sacrifice et surtout la femme brisée... Je ne vous dirais pas ce que lui a fait son défunt mari, mais ce type méritait une mort beaucoup plus douloureuse.
L'auteur a vraiment fait énormément de recherche pour être fidèle à la réalité historique. Nous découvrons beaucoup de choses : les débuts des césariennes, très souvent dernier recours lorsque la mère ne peut plus être sauvée, l'hygiène, la façon dont les médecins traite souvent les patiente avec dédain, considérant l'obstétrique comme une discipline inférieure...
Nous retrouvons lord et lady Silverton, sur le point de devenir parents. Leur médecin ne fait rien pour rassurer la jeune femme et elle finit par s'adresser à John Blackmore.
Celui-ci leurs apprend que l'heureux événement sera double, puisqu'elle attend des jumeaux... Chose qui aurait pu être révélée avant au vu de ses symptômes et par un simple examen que l'ancien médecin n'avait pas pris la peine de faire. Considérant sa patiente comme trop émotive...
j'ai été frappée par le passage où un médecin, élitiste, propose de briser le crane d'un bébé pour pouvoir le faire sortir et la façon dont il traite de haut l'infirmière, la mère en détresse et toutes femmes présentent... "La douleur est votre lot à toute fille d'Eve" et autre phrase de ce style.
A la lecture de tout ceci, j'ai été reconnaissante de vivre de nos jours, avec les échographies, le suivi médical et les péridurales. Et mon admiration pour les obstétricien(ne)s a encore grandi.